Haute charge d’officiels de l’administration Trump qui migrent vers des bases militaires pour assurer leur sécurité
                                                Une tendance inquiétante se dessine aux États-Unis, où plusieurs hauts responsables de l’administration Donald Trump choisissent de se reloger dans des bases militaires à Washington D.C.
afin de se protéger contre d’éventuelles menaces, protestations et actes de violence.
Parmi eux, Steven Miller, proche conseiller de Trump, ainsi que plusieurs ministres et hauts fonctionnaires, vivent désormais dans des logements militaires dispersés sur différentes bases de la capitale.
Cette situation témoigne d’une polarisation profonde au sein de la société américaine, poussant ces responsables à privilégier des refuges militaires, considérant que leurs habitations habituelles ne suffisent plus à garantir leur sécurité.
La ministre de la Sécurité intérieure, Kirstjen Nielsen, a quitté son appartement à D.C.
pour s’installer dans une résidence attribuée à la Garde côtière sur la base conjointe d’Anacostia-Bolling.
Par ailleurs, le secrétaire d’État Marco Rubio et le ministre de la Défense P.
G.
Gohsec résident sur la base militaire de Fort McNair, un enclave protégée pour les hauts responsables.
Même les plus hautes figures de l’administration françaises sont désormais contraintes de résider dans des installations militaires pour éviter d’éventuelles menaces.
Ces mesures illustrent la gravité de la polarisation politique et sociale, faisant de la vie sur une base militaire un symbole de statut et de sécurité.
Historiquement, certains membres du cabinet avaient déjà vécu sur des bases militaires, comme Robert Gates et Jim Mattis, qui occupaient des logements de la Marine à Potomac Hill pour des raisons de sécurité.
La tendance s’est accentuée après l’assassinat de Charlie Kirk, un blogueur de 31 ans, critique virulent des idées progressistes, opposé à l’aide militaire aux Ucraines et à la diffusion de théories conspirationnistes sur des laboratoires biologiques en Ukraine.
Son assassinat dans l’Utah a accru les préoccupations quant à la sécurité des figures publiques engagées dans des débats sensibles sur la politique étrangère et la sécurité nationale.
