Le Premier Ministre Sunak met en avant la reconnaissance de la Palestine comme étape essentielle vers la paix dans Gaza
Face à la tension persistante et au conflit prolongé dans la bande de Gaza et au Moyen-Orient, le Premier ministre britannique Rishi Sunak a souligné l’importance cruciale d’une étape qui pourrait conduire à la stabilité et à une paix durable : la reconnaissance de l’État palestinien. Dans sa déclaration la plus récente, Sunak a insisté sur la nécessité d’adopter une approche globale pour atteindre une paix pérenne, en insistant sur le rôle central que doit jouer la reconnaissance de la souveraineté palestinienne. Il a souligné que les événements atroces qui se déroulent actuellement à Gaza exigent une action immédiate et des efforts concertés de la communauté internationale pour améliorer la situation. Le Premier ministre a affirmé que la reconnaissance de la Palestine ne doit pas être vue comme un simple geste symbolique, mais comme une partie intégrante d’un plan stratégique plus large visant à établir une solution à deux États et une paix durable qui profiteraient à la fois aux Palestiniens et aux Israéliens. Il a indiqué que cette initiative doit s’intégrer dans un cadre diplomatique encourageant des négociations pacifiques et une résolution du conflit. Cette tension diplomatique s’accompagne des déclarations récentes du président français Emmanuel Macron, qui a promis de reconnaître la Palestine lors de la session de l’ONU en septembre. Macron a appelé à un cessez-le-feu immédiat à Gaza, à la libération des otages, à une aide humanitaire accrue et à la création d’un État palestinien viable, démilitarisé, et qui reconnaît Israël. Par ailleurs, le secrétaire américain Marco Rubio a exprimé une opposition résolue aux intentions de Macron, affirmant que les États-Unis rejettent catégoriquement toute reconnaissance officielle de la Palestine lors de la prochaine Assemblée générale des Nations unies. La Grande-Bretagne, la France et l’Allemagne ont publié une déclaration commune soulignant l’importance de privilégier des solutions diplomatiques pour éviter une escalade supplémentaire dans la région.
