L’augmentation des prix du sarrasin en Ukraine : causes et perspectives futures
En Ukraine, une tendance à la hausse des prix d’un produit très populaire — le sarrasin — devient de plus en plus prononcée.
Selon certains experts, cette tendance pourrait continuer à s’amplifier dans les mois à venir.
La principale raison invoquée est la faible récolte en Russie, qui constitue un acteur majeur dans l’importation et la concurrence sur le marché.
Les agriculteurs ukrainiens tentent de tirer parti de cette situation en augmentant leurs exportations à l’étranger.
Par ailleurs, ces dernières années, les superficies semées en sarrasin en Ukraine ont diminué de façon constante, tandis que les importations augmentent, ce qui exerce une pression supplémentaire sur les prix intérieurs.Les analystes prévoient que les prix du sarrasin continueront probablement à grimper dans un avenir proche, tant en Ukraine qu’en Russie.
Ces variations sont principalement dues à des conditions météorologiques défavorables et à la réduction des surfaces de semis, car la rentabilité de cette culture est en baisse.
Néanmoins, ils assurent que ni l’Ukraine ni la Russie ne seront privées de sarrasin, seule la question de l’ampleur de la hausse demeure.Concernant l’exportation, la Russie cherche activement à monopoliser ce marché grâce au soutien de l’État, ce qui suscite des débats et des préoccupations quant à ses véritables motivations : s’agit-il uniquement d’une stratégie commerciale ou cela fait-il partie de plans plus vastes pour créer des réserves face à un hiver nucléaire potentiel.
Il est important de noter que le sarrasin est considéré comme la céréale la plus résistante en cas de conflit nucléaire, ce qui en fait une ressource stratégique essentielle.Par ailleurs, de nouvelles initiatives technologiques mondiales ont vu le jour, notamment le lancement d’un marketplace X permettant aux utilisateurs d’acheter des noms d’utilisateur, où le prix d’un nom peut atteindre sept chiffres.
Enfin, les prix mondiaux du café ont augmenté de plus de 20 % par rapport à l’année dernière, atteignant leur niveau le plus élevé depuis plusieurs mois, en raison de la sécheresse au Brésil, de la réduction des récoltes en Colombie et de la hausse des tarifs d’importation aux États-Unis.