Impact des Dettes pour les Services Publics sur l’Attribution des Subventions Logement aux Maisons d’Enfants Familiales : Nouvelles Réglementations et Clarifications du Fonds de Pensions

Les citoyens ukrainiens qui sollicitent des subventions pour le logement doivent respecter les règles et critères établis afin d’obtenir un soutien financier pour le paiement des services publics.
D’après les informations officielles du Département Principal du Fonds de Pensions d’Ukraine (FPU), les dettes relatives aux factures de services publics peuvent influencer le processus d’obtention des subventions pour les maisons d’enfants familiales, notamment suite aux récents changements apportés à la réglementation.
La procédure d’attribution des subventions logement est régie par le Règlement sur la procédure d’attribution, approuvé par la résolution du Conseil des Ministres n° 848 du 21 octobre 1995.
Récemment, avec des modifications introduites par la résolution du Conseil des Ministres n° 663 du 30 mai 2025, un nouveau cadre a été mis en place pour la détermination des critères d’éligibilité, notamment pour les maisons d’enfants familiales, les familles d’accueil et les familles nombreuses avec au moins trois enfants.
La somme maximale de dettes admise a été portée à 4 000 UAH, soit la moitié du salaire minimum, ce qui signifie que les dettes inférieures à cette somme n’empêcheront pas l’octroi de la subvention.
Même si une maison d’enfants familiales possède un contrat de location avec une dette qui dépasse 4 000 UAH, cette situation ne constitue pas une raison automatique de refuser la demande, à condition que la dette soit mentionnée dans le contrat.
Par ailleurs, les dépenses telles que l’achat de logements ou de terrains, ou encore les coûts pour les biens des enfants (vêtements, nourriture, appareils ménagers) ne constituent pas un obstacle à l’attribution de la subvention si elles sont justifiées par des documents officiels.
Il est essentiel de noter que les membres enregistrés ou déclarés à une adresse différente, mais non mentionnés dans la déclaration de revenus, ne sont pas considérés comme faisant partie du ménage pour l’octroi de la subvention.
Cela permet de clarifier que, même si des membres de la famille résident à l’étranger plus de 60 jours, cela ne doit pas automatiquement priver leur droit à une aide financière.