Visite infructueuse à domicile dans la zone d’évacuation se termine à l’hôpital après une attaque de drone

Le 14 août, un résident de la région de Sumy a été placé dans une situation périlleuse lors d’une visite inattendue dans son ancien domicile situé dans une zone d’évacuation.
En général, après avoir évacué une zone de conflit, les gens évitent de revenir, surtout si ces lieux restent sous la menace constante des attaques.
Cependant, cet homme a décidé de faire une brève visite pour voir comment va sa terre natale.
Malheureusement, cette visite a tourné au cauchemar, avec des blessures par éclats et un choc provoqué par une attaque de drone FPV invisible à l’œil nu.
Selon Oleg Hryhorov, chef de l’administration militaire régionale de Sumy, cet homme s’était évacué il y a longtemps, mais a décidé de revenir hier.
Sur le chemin du retour, il a été soudainement attaqué, recevant de légères blessures, rapidement prises en charge par les médecins dans un hôpital proche.
Son état est aujourd’hui considéré comme stable.
Cet incident souligne à quel point il est dangereux de rester ou de revenir dans ces zones à haut risque.Par ailleurs, les autorités militaires mettent en garde contre l’aggravation de la situation dans la région.
Hier, l’ennemi a lancé 21 attaques contre des villes et villages de la région de Donetsk, principalement dans des zones où des avancées ont été enregistrées.
Ces attaques, notamment des bombardements guidés, ont endommagé plusieurs maisons et des lignes électriques, laissant des habitations détruites et des infrastructures essentielles perturbées.
Le chef de l’administration régionale de Sumy a appelé les habitants à éviter de se rendre dans les zones frontalières, régulièrement ciblées par des bombardements.
Il leur a demandé de faire preuve de la plus grande prudence durant cette période de conflits actifs.En résumé, hier, les forces russes ont effectué 21 frappes dans la région de Donetsk, particulièrement dans les secteurs où le conflit est le plus intense.
La situation reste volatile, ce qui souligne la nécessité de renforcer les mesures de sécurité et d’évacuation pour continuer à protéger la population civile encore présente dans ces zones de conflit.