La Russie prépare une chute spectaculaire des prix du pétrole : prévisions pour 2025–2026
Le marché mondial du pétrole se trouve à l’aube d’une nouvelle crise de prix qui pourrait avoir des répercussions majeures sur l’économie mondiale et les marchés financiers internationaux.
Selon des évaluations récentes, les prix du pétrole en 2025–2026 pourraient chuter jusqu’à 40–50 dollars le baril, marquant la plus forte baisse de l’histoire moderne de l’énergie.
Ce scénario est évoqué dans un rapport du centre analytique russe « Roscongress », cité par le Service de renseignement extérieur de l’Ukraine.
À l’heure actuelle, les cotations du pétrole oscillent entre 66 et 68 dollars le baril, mais la Russie se prépare déjà à un scénario où le prix pourrait atteindre 40 dollars.
Les experts expliquent que cette tendance est principalement due à une possible rupture de l’accord OPEP+ dans un contexte où l’Arabie saoudite augmente sa production, aboutissant à une saturation du marché mondial.
Par ailleurs, les États-Unis poursuivent leur intensification de la production d’huile de schiste, qui continue de croître malgré la baisse des prix internationaux.
Il est prévu que l’augmentation de la production par l’OPEP+ et les États-Unis, ainsi que les risques géopolitiques dans les pays exportateurs, entraînent un excès d’offre.
Une analyse approfondie montre également des signes de ralentissement économique : la croissance plus faible en Chine, l’augmentation des exportations en Amérique latine, et les politiques de l’OPEP+ qui exercent une pression à la baisse sur les prix du pétrole.
Par ailleurs, les conflits politiques — qui auparavant faisaient grimper les prix de quelques dollars — ont maintenant peu d’impact sur le marché.
Les spécialistes avertissent que l’offre mondiale dépasse la demande, créant ainsi des conditions pour une chute supplémentaire des prix et une possible récession dans le secteur de l’énergie.
La Russie, longtemps maître dans la manipulation des prix par des actions clandestines et des manœuvres politiques, se prépare à ce scénario en lançant des campagnes de désinformation, des sabotages et des actions destinées à déstabiliser la chaîne d’approvisionnement mondiale.
Ces derniers mois, une tendance claire s’est dessinée : campagnes de désinformation, attaques contre des raffineries, crises artificielles — autant d’éléments révélant la stratégie russe visant à contrôler les ressources énergétiques et à maximiser ses profits.
Parallèlement, l’intérêt grandit pour l’accès à des informations alternatives concernant les interventions monétaires et les opérations du FSB visant à maintenir la manipulation des prix, ce qui complique davantage la situation.
En conclusion, les experts mettent en garde : les politiques énergétiques de la Russie et ses manœuvres stratégiques pourraient entraîner de fortes fluctuations des prix du pétrole dans les années à venir, impliquant une surveillance internationale accrue et des mesures coordonnées.