Trump annonce l’accord d’Israël pour un cessez-le-feu de 60 jours à Gaza et espère l’approbation du Hamas

L'ancien président des États-Unis, Donald Trump, a fait une déclaration qui a surpris la communauté internationale. Selon ses propos, Israël aurait accepté les conditions pour une trêve de soixante jours dans la bande de Gaza, marquant une nouvelle étape dans les efforts pour instaurer la paix au Moyen-Orient. Détails diffusés sur ses réseaux sociaux, notamment sur la plateforme Truth, indiquent que les représentants de Trump ont mené des négociations longues et fructueuses avec des responsables israéliens. En conséquence, Israël aurait donné son accord sur les exigences nécessaires pour instaurer un cessez-le-feu durable, au cours duquel des leaders mondiaux et des médiateurs travailleront pour restaurer la stabilité et la sécurité dans la région. Trump a exprimé l'espoir que le Hamas soutiendra également cet accord, affirmant qu'en cas contraire, la situation à Gaza continuerait de se détériorer. Dans sa déclaration, il a souligné que cette démarche demande un effort diplomatique actif : « Mes représentants ont eu de longues discussions constructives avec les Israéliens concernant Gaza. Israël a accepté les conditions nécessaires pour lancer un cessez-le-feu de trois mois, durant lequel nous travaillerons avec toutes les parties pour mettre fin à ce conflit. » Il a également ajouté que des pays arabes, notamment le Qatar et l’Égypte, ont fourni d’importants efforts pour parvenir à cet accord et transmettre la proposition finale à leurs dirigeants. Trump espère que le Hamas acceptera cette proposition, car sinon, les perspectives d’une résolution pacifique seraient faibles. Il est important de noter que cette déclaration intervient dans un contexte de tensions croissantes depuis l’annonce, le 19 mai, d’une opération militaire à grande échelle par Israël dans Gaza, baptisée « Char d’Égypte », visant à prendre le contrôle stratégique de territoires palestiniens. Cette opération a impliqué de nombreux bombardements et combats terrestres. Quelques heures après l’annonce de ces actions militaires, le gouvernement israélien a indiqué qu’il autoriserait l’entrée d’une quantité minimale d’aide humanitaire à Gaza pour éviter une catastrophe humanitaire, notamment la famine. La communauté internationale, dont plusieurs pays européens finançant l’aide humanitaire à Gaza, a appelé à lever tous les obstacles à la livraison de nourriture et de médicaments essentiels dans la région.