Voici la traduction du texte en français :

Donald Trump a fait une déclaration inattendue dans laquelle il a exprimé son optimisme quant à la possible fin du conflit entre Israël et le Hamas, annonçant que l’accord de cessez-le-feu à Gaza était proche. Selon l’ancien président américain, les parties « sont très proches de la signature d’un accord » qui prévoit une cessation temporaire des hostilités pour 60 jours. Il a communiqué cette information lors d’un entretien avec des journalistes dans le bureau oval de la Maison Blanche, le 30 mai, en soulignant que la progression des négociations serait probablement annoncée dans les prochaines heures ou à la veille du lendemain. Trump a ajouté que les États-Unis ont de réelles chances de parvenir à un accord et qu’ils tiendraient le public informé de l’évolution de la situation, car le processus en est déjà à sa dernière étape. Par ailleurs, une information officielle concernant les progrès techniques et politiques dans les négociations s’est rapprochée d’une confirmation publique après plusieurs rapports issus de différentes sources. La veille, les médias citaient des sources diplomatiques pour indiquer que le gouvernement israélien était prêt à examiner un plan de cessez-le-feu et d’échange de prisonniers avec les militants du Hamas, proposé par l’envoyé spécial du président américain, Steve Vitkoff. Ces négociations se déroulent dans un contexte d’intensification de l’activité diplomatique tant du côté israélien que palestinien. Après plusieurs semaines d’efforts diplomatiques, les États-Unis et leurs partenaires européens ont à plusieurs reprises souligné la possibilité d’un point de basculement dans les pourparlers pour mettre fin au conflit. Le diplomate américain Vitkoff mène depuis plusieurs semaines des consultations avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son conseiller Ron Dermer. De plus, des négociations ont également été menées avec des dirigeants du Hamas à Damas, au Qatar, par l’intermédiaire notamment d’un homme d’affaires palestino-américain, Bisher Bakhah. Cela témoigne du caractère complexe et multiétagé du processus diplomatique actuellement en cours autour du conflit gazier. Par ailleurs, les accusations à l’encontre des autorités israéliennes pour violation du droit humanitaire ne cessent pas. Les États européens critiquent de plus en plus les actions d’Israël dans la bande de Gaza, notamment en raison du blocage de l’aide humanitaire et de la restriction d’accès aux ressources nécessaires pour la population civile de la région. Cela contribue à renforcer la pression internationale sur Israël, qui cherche à désamorcer la tension et à rassurer le monde sur sa volonté de rechercher une solution pacifique au conflit. Ainsi, la situation à Gaza reste tendue, et bien que les efforts diplomatiques offrent des raisons d’espérer, aucune décision définitive n’a encore été prise, et les voies vers la paix restent compliquées et multiformes.