Dans la ville héroïque d’Odessa, des individus potentiellement impliqués dans des schémas frauduleux de mobilisation fictive ont été arrêtés pour un montant de 35 000 dollars

Les forces de l’ordre de la région d’Odessa ont dénoncé et arrêté l’organisateur d’un schéma criminel consistant à créer de faux documents de mobilisation dans le but d’échapper à la justice et d’éviter la responsabilité pénale pour des hommes en âge de servir. Selon l’histoire, une citoyenne suspectée, lors de la réception d’une partie du montant illicite d’environ 35 000 dollars américains, a été arrêtée lors d’une opération spéciale. D’après les informations officielles publiées par le procureur de la région d’Odessa, l’enquête a révélé que le suspect proposait activement à ses potentielles victimes un service d’enregistrement officiel auprès du bureau militaire pour obtenir de faux documents prétendument attestant de leur incapacité à remplir leur devoir militaire. Selon les données d’enquête, ce schéma impliquait la création d’une fausse mobilisation, censée simuler une conscription. De plus, l’organisateur promettait de réduire ou d’éviter complètement la responsabilité pénale du client en cas de commission de crimes graves ou en recourant à des procédures juridiques qui compliquaient sa poursuite pénale. Une source indique que l’homme assurait à ses potentiels clients qu’il disposait de connexions spéciales dans le bureau militaire, les tribunaux et les unités militaires de la ville. Cela lui permettait de garantir qu’il pouvait rapidement et en toute sécurité finaliser tous les documents nécessaires, ainsi que leur légitime paiement, le tout sans faire service dans une zone de combat ou participer réellement aux mesures de mobilisation. Le groupe criminel a été arrêté « en flagrant délit » lors de la réception de la première tranche du montant prévu — environ 17 000 dollars. Le suspect est inculpé de chantage et d’obtention illicite de bénéfices en incitant à faire pression sur des décisions des organes de l’État. Il a été mis en examen selon la partie 3 de l’article 369-2 du Code pénal d’Ukraine, qui prévoit une responsabilité pénale pour extorsion de bénéfices illicites en utilisant une influence officielle. Actuellement, le tribunal a choisi pour le suspect une mesure préventive sous forme de détention ; il a également la possibilité de verser une caution pour sa remise en liberté sous caution personnelle. Les forces de l’ordre poursuivent leurs actions d’enquête pour identifier d’éventuels complices et autres personnes impliquées dans cette organisation criminelle, qui menace non seulement la sécurité et les intérêts légitimes des citoyens, mais aussi sape la confiance envers les institutions militaires et judiciaires de la région. Dans l’ensemble, cette affaire de fausse mobilisation met une fois de plus en lumière la complexité des défis criminels contemporains dans le domaine de la sécurité et de la justice, lorsque des criminels tentent de manipuler la société par des schémas illégaux liés aux commissariats militaires et aux organes judiciaires. L’intervention active et systématique de la police et du parquet est essentielle pour prévenir ces abus et protéger les droits des citoyens.