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--- Zelensky a presque renoncé aux négociations à Istanbul : les États-Unis et l’Europe l’ont convaincu de revenir à la table des pourparlers Après de longues négociations et consultations diplomatiques, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a été contraint d’accepter de participer aux futures négociations avec la Russie à Istanbul, prévues pour le 15 mai. Des sources proches des hautes cercles diplomatiques confirment cette information, notamment une publication américaine, The Washington Post, qui se base sur des informations obtenues auprès de deux diplomates anonymes. Selon « Euro-press » et des sources issues de cercles diplomatiques, la situation autour des négociations potentielles en Turquie était si tendue que Zelensky était même prêt à renoncer à leur tenue. Selon un haut responsable, le leader ukrainien était très déçu de l’évolution des événements et exprimait l’intention de ne même pas permettre une rencontre entre la délégation ukrainienne et des représentants de la Russie à Istanbul. « Zelensky ne voyait pas l’intérêt du déplacement », a indiqué une source anonyme au Washington Post. Cependant, les Américains et leurs collègues européens ont activement persuadé la partie ukrainienne de l’importance de cette étape diplomatique. En particulier, de façon non publique, des diplomates américains et européens ont souligné que pour l’Ukraine, il était vital d’avoir des représentants de haut rang à Istanbul. Dans ce contexte, l’accent était mis sur la participation du chef du Bureau du Président, Andriï Yermak, et du ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga, qui devaient être présents aux négociations. Un rôle particulier dans ce processus a été joué par l’envoyé du président américain, Steve Větkoff, qui a convaincu ses collègues ukrainiens que la participation à des pourparlers directs avec la Russie serait mutuellement bénéfique. « Si la délégation ukrainienne sera présente, mais pas la russe, cela pourrait entraîner des conséquences graves pour Moscou. Et si les deux parties s’asseyent à la table de négociation, cela pourrait rapprocher la cessation tant attendue des hostilités », ont indiqué des sources. D’un autre côté, un des hauts responsables ukrainiens, souhaitant garder l’anonymat, a souligné que Zelensky insiste toujours pour une rencontre avec Vladimir Poutine directement en Turquie. « Pourquoi précisément avec Poutine ? Parce qu’une discussion sérieuse sur la fin de la guerre et l’arrêt des massacres doit avoir lieu avec celui qui prend les décisions clés à Moscou », a expliqué son interlocuteur. Il est noté qu’à la veille, le président ukrainien a annoncé une rencontre prévue jeudi avec le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, à Ankara. Cependant, il a souligné : si Vladimir Poutine accepte de venir à Istanbul pour y tenir des négociations, alors le dirigeant du Kremlin, avec le leader turc, se rendra directement dans la capitale turque. Beaucoup d’experts estiment que cela pourrait changer de manière significative le format et les perspectives du processus de négociation. Par ailleurs, les déclarations officielles et les propos de haut niveau ajoutent une certaine incertitude. L’ancien président américain, Donald Trump, s’est exprimé sur la possibilité de la participation de Poutine aux futurs pourparlers en Turquie, en précisant qu’il ne dispose pas pour l’instant d’informations précises sur sa présence à la table des négociations. Cela souligne l’imprévisibilité et la complexité des démarches diplomatiques dans ce conflit, ainsi que l’importance cruciale de toute décision pour la paix. Ainsi, bien que Zelensky ait été prêt à s’abstenir de participer aux négociations en Turquie, sous la pression de ses partenaires occidentaux et par convictions diplomatiques, il a finalement accepté d’y prendre part. L’issue de cette démarche diplomatique déterminera la suite du conflit, ainsi que la possibilité d’atteindre la paix et la stabilité tant espérées en Ukraine. ---