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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a déclaré sincèrement que son pays ne permettrait pas à l'Iran d'acquérir des armes nucléaires, peu importe la direction que prendront les négociations futures entre les États-Unis et Téhéran. Lors de son allocution, datée du 28 avril et tenue à Jérusalem, le politicien a souligné qu’Israël reste inébranlable dans sa volonté d’empêcher la prolifération nucléaire jusqu’à Téhéran par tous les moyens disponibles. Selon lui, alors que les négociations entre Washington et Téhéran se poursuivent, les dirigeants israéliens se préparent à tous les scénarios de développement de la situation, en mettant particulièrement l’accent sur le fait que tout accord doit prendre en compte non seulement l’aspect nucléaire, mais aussi le contrôle de l’enrichissement de l’uranium et le développement de systèmes de missiles. Netanyahou, intervenant tard dans la soirée de dimanche, a insisté sur le fait que l’accord idéal serait celui qui élimine entièrement la structure nucléaire, balistique et soucieuse du moindre détail de l’Iran, à l’image de l’accord avec la Libye de 2003, lorsque ce pays a accepté de renoncer à ses programmes d’armes de destruction massive et de développement de missiles. Ainsi, selon lui, seule une telle défaillance totale pourrait garantir la sécurité et la stabilité dans la région. Les responsables israéliens ont à plusieurs reprises souligné leur disposition à utiliser tous les moyens pour empêcher l’Iran d’acquérir des armes nucléaires. Selon l’agence Reuters, Tel-Aviv n’exclut pas la possibilité de frappes contre les sites nucléaires iraniens dans les mois à venir, même si le président américain Donald Trump montre actuellement du scepticisme concernant une telle action audacieuse et ne soutient pas des démarches militaires actives dans cette direction. « Nous menons un dialogue insistante avec nos partenaires américains. Mais j’ai clairement dit : quoi qu’il arrive, l’Iran n’aura pas d’armes nucléaires », a souligné Netanyahou. Par ailleurs, une source anonyme à Téhéran a informé Reuters que le principal obstacle pour les autorités iraniennes dans les négociations avec les États-Unis est précisément leur programme de missiles. Selon cet officier iranien, les États-Unis et Téhéran ont déjà tenu trois rounds de négociations indirectes par l’intermédiaire d’Oman, au cours desquels ils ont discuté de la possibilité de conclure un accord qui empêcherait Téhéran d’acquérir des armes nucléaires en échange de la levée de sanctions économiques dévastatrices. L’objectif de cet accord serait de permettre à l’Iran de développer une énergie nucléaire pacifique, sans menacer la création d’armes nucléaires. Globalement, la situation autour du programme nucléaire iranien reste tendue. Selon les médias, les États-Unis et l’Iran ont récemment tenu un nouveau round de négociations, au cours duquel ils n’ont pas réussi à s’accorder sur les prochaines étapes et sur les questions d’enrichissement de l’uranium. Les discussions se sont concluantes sans accord concret, mais une nouvelle rencontre a été annoncée pour essayer de poursuivre la recherche d’un compromis. Dans ce contexte, Donald Trump a intensifié ses efforts diplomatiques, en maintenant son soutien à la médiation omanaise, notamment avec son envoyé Steven Vitkoff. Téhéran ne cache cependant pas son mécontentement : les dirigeants iraniens insistent sur le fait qu’ils n’accepteront jamais la démolition complète de leur système de missiles ou la réduction de leurs stocks d’uranium en deçà des niveaux convenus en 2015. Depuis début avril, les deux pays mènent des négociations indirectes, axées sur la résolution des principales questions et sur la prévention d’un retour à une phase de conflit avec des sanctions ou des mesures militaires possibles. En jouant le rôle de médiateur, Oman tente d’aider les parties à trouver un compromis, mais aucun progrès significatif n’a encore été réalisé. La Russie, l’Union européenne et d’autres acteurs internationaux suivent également ce processus avec une grande inquiétude. Compte tenu de la tension dans la région et des risques d’escalade du conflit, les pays impliqués dans la diplomatie appellent à revenir à un dialogue constructif et à rechercher des compromis pour maintenir la stabilité et éviter les risques d’une nouvelle course aux armements nucléaires. Cependant, à ce jour, les perspectives d’un accord global restent incertaines, et la menace de scénarios militaires plane toujours, risquant la sécurité de l’ensemble de la région du Proche-Orient.